25 novembre 2005
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19:09
On trouvera quelques coquilles comme celle-ci que nous aurons tout le temps dans les messages à venir de faire voler en éclat: "Cette mondialisation crée des richesses, mais les affecte de façon aveugle au regard des besoins humains. Elle aggrave les inégalités à l'échelle planétaire comme à l'intérieur des pays. Elle pousse à l'utilisation sans freins des ressources naturelles. Elle crée une extrême pauvreté." On trouvera une analyse critique dans le site du cercle des libéraux ou bien l'original au PS.
Ajoutons cette affirmation digne de "la ferme des animaux" de Georges Orwell: "le projet socialiste se fonde sur la conviction ... que la richesse réelle d’une société se fonde sur l’égalité des destins..." Je ne connais qu'une façon d'assurer une égalité de destin: c'est le goulag ou la solution finale.
Revenons à du plus classique : "Mais, nous combattons le libéralisme économique et son cortège de dérégulations, déréglementations, libéralisations, privatisations, précarisation qui expriment, au quotidien, l’avènement de valeurs que nous combattons : l’individualisme, le chacun pour soi, l’éphémère et le spectaculaire."
Au plus réaliste : "Quant à l’endettement public, il atteindra en 2007 près de 70 % du PIB." ou bien plus surprenant de leur part en contradiction avec l'affirmation ci-dessus concernant l'extrême pauvreté : "Il est également prévisible que le nombre de pays riches aura augmenté dans une quarantaine d’années." du réalisme encore mais cette fois par le petit bout de la lorgnette : "Pour nous, si la France va mal, c’est d’abord parce qu’elle est mal dirigée, mal conduite, mal gouvernée." (sic)
Puis un peu d'extraordinaire: "Notre objectif doit être de diminuer non seulement de moitié le taux de chômage d’ici 2012, mais de réduire également de moitié la durée moyenne du chômage. Il faut donc créer plus d’emplois et favoriser plus de mobilité professionnelle."
On se réserve pour une autre fois l'étude de la motion de la gauche libérale.
Ajoutons cette affirmation digne de "la ferme des animaux" de Georges Orwell: "le projet socialiste se fonde sur la conviction ... que la richesse réelle d’une société se fonde sur l’égalité des destins..." Je ne connais qu'une façon d'assurer une égalité de destin: c'est le goulag ou la solution finale.
Revenons à du plus classique : "Mais, nous combattons le libéralisme économique et son cortège de dérégulations, déréglementations, libéralisations, privatisations, précarisation qui expriment, au quotidien, l’avènement de valeurs que nous combattons : l’individualisme, le chacun pour soi, l’éphémère et le spectaculaire."
Au plus réaliste : "Quant à l’endettement public, il atteindra en 2007 près de 70 % du PIB." ou bien plus surprenant de leur part en contradiction avec l'affirmation ci-dessus concernant l'extrême pauvreté : "Il est également prévisible que le nombre de pays riches aura augmenté dans une quarantaine d’années." du réalisme encore mais cette fois par le petit bout de la lorgnette : "Pour nous, si la France va mal, c’est d’abord parce qu’elle est mal dirigée, mal conduite, mal gouvernée." (sic)
Puis un peu d'extraordinaire: "Notre objectif doit être de diminuer non seulement de moitié le taux de chômage d’ici 2012, mais de réduire également de moitié la durée moyenne du chômage. Il faut donc créer plus d’emplois et favoriser plus de mobilité professionnelle."
On se réserve pour une autre fois l'étude de la motion de la gauche libérale.